Micro-cuvée Mandarine
19.00€
Nous l’avons siroté avec une mozzarella faite à Paris, sur du rock psychédélique des années 70.
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Fiche technique de la micro-cuvée mandarine :
Ce vin mandarine est un assemblage de Chenin vinifié en blanc et de Gewurztraminer vinifié en orange longue macération (161 jours)
Nous allons chercher le Chenin chez les vignerons Grégory et Elisabeth Nouteau, qui travaillent leurs vignes en bio en Anjou et les Gewurztraminer au Domaine de l’Envol, qui travaillent leurs vignes en biodynamie dans le Haut-Rhin à Ingersheim. Ils sont vendangés à la main puis nous les ramenons à Courbevoie où on enchaîne avec la vinification.
Les raisins arrivent à 8°C au chai.
Pour le Chenin, les raisins sont immédiatement pressés et pompés dans une cuve inox. 48h de débourbage, nous faisons un soutirage puis la fermentation démarre et se tient aux alentours de 18°C. S’en suit la fermentation malolactique et un élevage de 5 mois en cuve.
Pour le Gewurztraminer, les raisins sont immédiatement éraflés et foulés puis pompés dans une cuve en inox. Une macération à froid de 48 h puis la fermentation démarre, nous faisons des remontages quotidiens pendant 10 jours pour une macération totale de 161 jours et nous pressons les raisins.
Les vins ont ensuite été assemblés pour créer ce blanc détonnant.
Nous n’utilisons aucun intrant ni soufre à la mise pour cette cuvée.
Du bonheur en bouteille 🙂
Retrouvez aussi Micro-cuvée Orouge – 2022 – Pif à Papa (pifapapa.fr)
Mandarine oui mais le Chenin Banc, kézako ?
(voir https://avis-vin.lefigaro.fr/connaitre-deguster/tout-savoir-sur-le-vin/guide-des-cepages/chenin)
Le chenin blanc serait originaire d’Anjou, où il aurait été cultivé par les moines de l’abbaye de Saint-Maur, située entre Angers et Saumur dès le VIe siècle. Il serait issu d’une sélection de pineau d’Aunis ou de chenin noir.
Il tirerait son nom actuel du mont Chenin en Touraine. Certains évoquent aussi un pedigree canin : chenin en vieux français signifiant « relatif au chien », car les chiens devaient aimer ces grains savoureux… Toujours est-il que Rabelais le cite déjà dans son Gargantua.